PLATEFORME CHIMIQUE DU PONT-DE-CLAIX
La plateforme aujourd’hui
Les sociétés présentes sur la plateforme chimique du Pont-de-Claix figurent parmi les principaux acteurs économiques de la région grenobloise.
Ses produits chimiques sont utilisés comme matières premières ou composants par des clients internationaux, pour des applications industrielles ou domestiques : hygiène et santé (traitement de l’eau, pharmacie, matériel médical…), automobile et transports, ameublement, électronique et téléphonie (peintures, vernis, revêtements, adhésifs hautes performances).
L’objectif des sociétés de la plateforme est d’assurer un développement durable de leurs activités, grâce à un haut niveau de compétences et de maîtrise de la sécurité.
La plateforme chimique comprend 2 établissements Seveso Seuil Haut :
Le Plan d’opération interne (POI), opérationnel 24h/24, couvre l’ensemble des sociétés présentes et repose sur des moyens humains et matériels complémentaires. Ce POI est révisé régulièrement et fait l’objet de tests mensuels.
Une organisation d’astreinte et des agents de sécurité, permettant d’assurer le premier niveau d’intervention (gestion des alertes, secours aux blessés, reconnaissance, extinction incendie…). Une compagnie de sapeurs-pompiers volontaires, spécialisée dans le risque chimique. 200 secouristes du travail, un service médical intégré.
- Un système informatisé d’alerte aux gaz toxiques.
Des véhicules d’intervention. - Un protocole d’assistance mutuelle avec Arkema Jarrie.
- Un bassin de rétention des pollutions accidentelles.
La sécurité au quotidien
- Publication annuelle des résultats en matière de sécurité et d’environnement.
- Site internet et réseaux sociaux.
- Visites d’usine, contacts réguliers avec la presse, rencontres avec les riverains, implication dans des organismes extérieurs, comme le SPPPY (Secrétariat permanent pour la prévention des pollutions et des risques dans la région grenobloise), sensibilisation du milieu enseignant, partenariat avec l’IRMa (Institut des Risques Majeurs).
- Application de la démarche “communication à chaud” de France Chimie, qui vise à informer en cas d’incident, même mineur, sur les sites industriels.